jeudi 20 février 2020

La psychanalyse hautement performante suite N°3

La psychanalyse hautement performante suite N°3




La PAR propose une nouvelle approche et réflexion de la psychanalyse, elle est plus étendue, plus dynamique, mieux rationalisée, que celle que l’on accorde à la psychanalyse classique. Et surtout elle permet d’accéder à des cures beaucoup plus courtes, plus dynamiques aux résultats manifestement observables.

En voici la définition « La psychanalyse P.A.R est un art intimiste, une extraordinaire introspection très performante, et si nécessaire à portée thérapeutique, et qui au-delà d'une méthodologie à caractère scientifique, attribue à l'être le maximum de moyens pour trouver sa plénitude en sa quête de devenir maître dans ses choix. C’est à ce jour vraisemblablement ce qu’il existe de plus pertinent et complet en matière de « travail sur Soi ». Une psychanalyse a une fin, mais les outils de développement intellectuel et de l'appréciation d'une nouvelle élaboration restent acquis à jamais ».

Elle s’inscrit dans les concepts et méthodologies de la psychanalyse classique, initiée par Freud et augmentée des travaux de Ferenczi. La psychanalyse donnait des résultats mais dont les cheminements étaient souvent empiriques, incomplets et reposant surtout sur le savoir être et faire du praticien.

Actuellement les durées se sont considérablement allongées depuis la disparition de Freud et de Ferenczi, passant de quelques mois à plusieurs années, voire plus pour la psychanalyse dite contemporaine.

Les différents courants au lieu de renforcer cette nouvelle discipline par la précision, ont donné d’elle une image confuse qui l’éloignait de plus en plus de ce qui en a fait les concepts et bases. Ainsi progressivement l’analysant est devenu un analysé, et cela par le psychanalyste. L’alliance thérapeutique est devenue un silence glacial. Les raisons qui avaient amené à la création de cette nouvelle discipline qu’est la psychanalyse ont été oubliées, car la plupart des concepts avaient été insuffisamment aboutis ou rationalisés. C’est ce que va parfaire la PAR qui va reprendre les fondements de la psychanalyse pour les développer, les faire évoluer, pour devenir maintenant les fondamentaux, cela grâce à ce que son architecture séquentielle, et à cette notion de Process permettent. Ces nouveaux concepts, je les ai introduits afin de préciser la régularité et la structure cohérente de l’ensemble de la PAR, concepts ainsi que méthodologie.

 Ceci afin de sortir la psychanalyse de son côté aléatoire, improbable et obscur. Ici dans le cadre de la PAR ces deux notions de Process et d’architecture, permettent d’organiser la notion d’activation, cela pour la première fois, en définissant les lieux et les méthodes qui permettent enfin de mettre en œuvre cela.

Freud a dit « j’ai inventé la psychanalyse lorsque j’ai quitté l’hypnose ». En 1896, il abandonne la technique de l’hypnose à laquelle il préfère la technique « psycho-analytique » qui repose principalement sur la parole, la libre association des images, des rêves, des idées, mais surtout le concept d’abréaction qui cependant n’avait pas été suffisamment défini, ni précisé, mais ainsi la psychanalyse est née.

A la disparition des fondateurs, ces bases n’ont pas été reprécisées ni développées, car Il y a eu une confusion de fond, ce qui doit être la nature et la réalité de la psychanalyse, et de forme, ce que sont les moyens et les méthodes pour y arriver. C’est ainsi que chaque courants et écoles ont développé des pistes qui en réalité ont fait glisser la psychanalyse en dérive.



La psychanalyse PAR


La psychanalyse PAR est la contraction des appellations : Process Analytiques Rivalin

La psychanalyse PAR est le fruit de trente années de pratiques cliniques basées à partir d’une réflexion/pratique Freudienne et Ferenczienne, matinée ensuite, et entre autres d’une approche de la psychanalyse active au sein du CSDPA, société de psychanalyse crée en 1982.

Sans cesser d’améliorer les protocoles de la psychanalyse classique, comme d’autres auteurs d’ailleurs avant, avaient également estimé qu’elle était non aboutie, et non réellement finie, je suis ainsi passé des fondements de la psychanalyse classique aux fondamentaux que j’ai redéfinis, en revisitant la psychanalyse classique au plus profond de ses constituants, tant sur le fond que sont les concepts, ainsi que sur la méthode que sont les cliniques.

Ces travaux partagés par d’autres psychanalystes m’ont amené progressivement à faire émerger une méthode que j’ai constamment confronté de la théorie à la pratique, et qui valorise l’essence même de la psychanalyse, à travers l’ensemble des concepts qui ont été ainsi redéfinis, et précisés.

Mais l’essentiel en psychanalyse a toujours a été de savoir définir la notion d’activité, et le lieu de cette activité. Ces deux concepts n’ont jamais été finalement précisés, il suffit de voir d’ailleurs les nombreuses correspondances entre Freud et Ferenczi à ce sujet, (Sigmund Freud Sandor Ferenczi correspondances chez Calman Levy, et Précis de psychanalyse J Rivalin éditions Maïa.)

La méthode que nous proposons ramène la psychanalyse à des durées très courtes, et surtout à une réelle efficacité, car elle a défini cette activité psychanalytique, mais surtout les lieux et les articulations entre les différents moyens pour y parvenir. 

La psychanalyse PAR est structurée comme une architecture, nommée architecture séquentielle, ce qui permet de préciser les lieux et les articulations entre eux, le fonctionnement est également sous tendu à travers l’identité de Process.


La psychanalyse avait défini un état mais pas véritablement la technique. 


La pratique de la psychanalyse de par son assise conceptuelle aurait toujours dû être active, d'une durée courte et surtout efficace de par sa thérapeutique, comme l’a toujours postulé et pratiqué la PAR à travers son approche conceptuelle et surtout clinique.

Elle avait donné une autre dimension dans la compréhension du psychisme, mais pas défini réellement les moyens n’y accéder ni véritablement ce qui était sa finalité.

L’activation que Freud cherchait tant, et que Ferenczi a sans cesse expérimentée, est ici précisément décrite et maitrisée, car une psychanalyse ne peut fonctionner sans cette activation. Lacan faisait le clown, mais même s’il activait de fait ainsi, malheureusement cette mise en situation par le burlesque seul, lui échappait de fait. 

Il fallait non pas s’affranchir, mais faire évoluer cette proposition initiale que nous ont présentés Freud et Ferenczi, pour continuer à aller chercher plus loin les moyens à rendre l’introspection réellement prospective et utile. La PAR a donc intégré et développé les concepts et process d’utilisation du contre transfert que Freud n’a pas pu utiliser suffisamment, la fin de vie par la maladie générant ce manque de temps d’expérimentation, mais rebondissant sur les travaux de Ferenczi ne disait-il pas « L’avenir de la psychanalyse passera par l’activité du psychanalyste ».

« Le divan comme une épure ». Pour terminer ce constat  rapide sur les incomplétudes qui ont conduit à ces errances pour la psychanalyse traditionnelle qui a ainsi dévié de son champ opératif,  et continuer à dresser une rapide présentation de la PAR, celle-ci élève  la notion de Process, au rang de convenance indissociable, car elle rationalise l’ensemble des procédés et protocoles définissant et déterminant le cadre du champ psychanalytique, les transferts, la maitrise et l’utilisation du contretransfert, les outils d’autonomie que nous conférons à l’analysant et non à l’analysé avec les moyens didactiques d’appropriation,  les interstices que procure « le pilier contingent » sa façon à permettre ainsi  à ce que le divan dans le temps de son espace soit une épure de méthode, consacrée à l’essentiel, ainsi  dépouillé de ces scories qui auront été évoquées dans un autre espace d’expression. Le mot « Process » étant donc comme il est défini par lui-même : l’ensemble des protocoles, procédures, règles activées dans le cadre de la cure, et ce dans le cadre d’un champ clinique que propose la PAR au psychanalyste.


        Alliance thérapeutique      concept d’alliance      concept de mitoyenneté


Ce sont ces notions d’épure et de pertinence qui font qu’avec l’ensemble des protocoles définis précédemment dans les démarches freudienne et Ferenczienne nous avons obtenu des cures hautement dynamiques réduisant ainsi de façon considérable la durée, et cela en optimisant les process et les articulations entre.



                        On n’agit pas on parle dans une analyse passive 
                        mais dans le cadre de la PAR on parle pour agir




Nous pouvons en retenir quelques représentations caractéristiques : 

  • -Un psychisme psychanalytique à la définition augmentée et précisée
  • -Le déterminisme psychologique et la réversibilité psychique
  • -L’aspect mutagène du psychisme, et le principe de refoulement précisé 
  • -Le concept de mitoyenneté
  • -Le concept de piles mnésiques
  • -Le divan épure qui seul permet la mise en œuvre de la PAR
  • -La notion de thaumaturgie
  • -Le dossier virtuel
  • -Le triptyque 
  • -L’architecture séquentielle, et la notion de Process
  • -Les abréactions conscientisées pleinement abouties les « ACPA »
  • -Les perlaborations exogènes finalisées les « PEF »
  • -Le nouveau cadre transférentiel très élargi
  • -Le placenta analytique
  • -La mutagénicité par homéostasie 


En psychanalyse PAR l’analysant est précisément considéré comme l’acteur pleinement impliqué. Il est un participant actif et non un assisté. La philosophie de la psychanalyse P.A.R est d’offrir à l’être le maximum d’outils pour son autonomie de penser, par la lucidité nouvellement acquise et non d’en faire un assisté.

Ainsi dès le départ le psychanalyste en PAR est un pédagogue œuvrant dans le cadre de la neutralité bienveillante, pour ne pas laisser l’analysant seul dans le silence et l’errance. La démarche en PAR est didactique, sa philosophie est de donner à l’analysant au plus vite les moyens de son autonomie.


                      L’inconscient est structuré par et dans les émotions
                        Le conscient est structuré par et dans le langage


Le psychisme est un vaste maillage atemporel dans lequel tout active tout, de même la psychanalyse est un vaste maillage atemporel dans lequel tout active tout, notamment les mémoires conscientes et inconscientes. « L’inconscient est structuré par et dans les émotions dans le cadre d’un vaste maillage atemporel construit et structuré par l’ensemble des vécus de toutes natures ».   

Le psychisme utilise deux mémoires conscientes et inconscientes ensembles, les deux utilisant des bases de données différentes s’appuyant pourtant sur les mêmes informations, mais qui sont pourtant traités de nature différentes.

La mémoire consciente est une base de données structurés temporellement, permettant des activations volontaires et intellectuelles de ses substrats, notamment par comparaison, pour la meilleure utilité. Elle est aussi structurée de modèles effecteurs.

 La mémoire inconsciente est-elle une base de données atemporelle dans laquelle les vécus sont regroupés dans ces piles mnésiques de même fréquence émotionnelles.



Nous pouvons affirmer des précisions quant à sa pertinence sur ces développements :

La psychanalyse PAR apporte des résultats très aboutis et durables, c’est la raison pour laquelle de nombreuses personnes la compare actuellement aux prétentions du coaching, expliquant même que la PAR dépassait très largement les cadres de ceux-ci, notamment en matière de bien-être par un cheminement important dans la perception de soi, qui sera véritablement réelle.

Cette analyse est actuellement tellement développée que je vais en expliquer les raisons qui pour moi était tellement patentes que je n’avais pas penser recourir à ces commentaires.

La PAR a finalisé toute la démarche car rappelons, que Freud avait des patients et voulait les guérir, et c’est ce qu’il faisait la plupart du temps, soit par la disparition du symptôme, soit par amélioration notable du comportement, également par l’émergence du Moi, ce qui d’ailleurs n’a jamais été véritablement défini.

la psychanalyse passive a perdu au fur et à mesure deux fonctionnalités essentielles qui sont l’abréaction et la perlaboration, et qui en PAR ont été développées pour devenir les ACPA et les PEF. 

Nous avons sur les fondements qui sont pour nous, non suffisamment développés, précisés, ni affinés, trouvé et structuré ces bases de la psychanalyse pour rendre la PAR moderne, mais s’appuyant sur tous les schèmes de la psychanalyse classique passant comme je l’ai écrit à de maintes reprises, des fondements de la psychanalyse classique aux fondamentaux d’une psychanalyse nouvelle et moderne.

Il est hors de question en PAR de ne pas s’intéresser au présent et à l’environnement du patient-analysant, et ce qui a été particulièrement développé à travers les PEF, c’est dès le départ cette dynamique de l’observable. Il y a toute une pédagogie qui est une véritable découverte pour les analysants, et qui découvrent ce champ, très large qu’ils ignoraient et qui souvent s’appuie sur des substrats éducatifs défaillants.

Les liens de causalité sont ainsi rapidement et naturellement effectué, alors que dans une analyse passive l’analysant est livré seul face à lui-même. 

Nous avons également fait évoluer le concept d’alliance thérapeutique en concept de mitoyenneté qui permet, cela obligeant le psychanalyste à une vigilance et constance permanente, pour obtenir cette qualité.



Cet ensemble optimise la perlaboration plus aboutie que le coaching pour plusieurs raisons :

  • -Le coach, c’est l’analysant
  • -Les perlaborations sont possibles grâce aux ACPA
  • -La perlaboration est triple dans sa conception :
  • -La perlaboration PEF s’appuie sur l’être, le coaching lui sur le paraitre
  • -Le Moi intime ainsi réveillé, est révélé et dépassé par sa force, sa pertinence, sa durabilité et surtout sa constante adaptabilité
  • -La maitrise du paraitre par l’être révélé.



Ceci pour expliquer les nombreuses critiques autour de la psychanalyse dont la plupart malheureusement sont justifiés, je renvoie le lecteur sur les articles précédents notamment sur « la psychanalyse hautement performante » et sur mon ouvrage « changer et guérir vite grâce à la psychanalyse »


Ainsi la PAR grâce à l’architecture séquentielle, permet une itération constante entre les abréactions et les perlaborations.


Cela s’effectue par la précision et la décomposition maintenant possible de ces deux concepts, à savoir :

- Les ACPA ou autrement nommées « Abréactions Conscientisées, Pleinement Abouties », fonctionnent par récurrence et occurrence, nous savons que grâce au concept de mitoyenneté nous pouvons travailler par syllogisme psychanalytique. Cette précision se fait par une récurrence de l’information que nous faisons progressivement passer du champ intellectuel à de multiples possibles, ce qui est rendu réalité ici par le concept de mitoyenneté, qui seul permet les syllogismes qui sont opérés ensemble. Ces probables vont être passés par la dynamique du syllogisme, « qui, quoi, comment et où » pour pouvoir surtout amener aux ressentis qui serons de toutes natures. 

- Les PEF « Perlaborations Exogènes finalisées » peuvent intervenir maintenant dans la PAR, car dès la mise en place de la mitoyenneté et de l’utilisation ainsi permise des syllogismes, l’analysant très rapidement va s’interroger sur le comment, le maintenant car, n’oublions jamais que la psychanalyse par les associations libres permet de faire toutes les liaisons, passant des improbables aux certitudes, et permettant ainsi de trouver des esquisses, puis des sensations de vérité, comme « cela s’est réellement passé ainsi, et non dans l’idée ou l’illusion », alors qu’une analyse classique par sa passivité n’a jamais activé dans et grâce aux  syllogismes, non seulement parce qu’elle ne le sait pas, mais  essentiellement parce qu’elle ne l’a jamais pensé.

Les PEF sont ces facultés que va donc développer l’analysant, tout simplement par l’utilisation de ce syllogisme analytique qui ici est un instrument de méthode, des perlaborations instantanées et naturelles, je le précise à nouveau le générique du terme perlaboration est classiquement défini, pour exprimer « l’adéquation du désir d’être avec le paraitre ». De très profonds et importants changements du psychisme peuvent apparaitre, pouvant amener très souvent à confondre ce que la personne pensait être des traits de caractère, de personnalité, ce que d’aucuns nomment l’inné, avec ce qui n’étaient que des stratégies comportementales, adaptatives, et souvent très archaïques, cependant en aucun cas de réels traits de personnalité, mais cela je le décris dans mon livre à paraitre.

Ainsi l’analysant en utilisant tous les outils, plus particulièrement dans ces séquences comme le dossier virtuel, va grâce à ses itérations constamment, et sans en faire véritablement l’effort faire ses observations pour améliorations. Une nouvelle fois et c’est aussi une très grande différence avec la psychanalyse habituelle, c’est qu’il effectue cette démarche très automatiquement mais surtout au quotidien, et cela sans notion d’effort ou de labeur. 

La psychanalyse PAR revendique sa pratique dynamique dans un environnement naturel, dans lequel l’analysant peut librement trouver les supports au travail des PEF et de préparation aux ACPA. Cela autorise l’émergence et l’éveil de ce que j’ai toujours nommé le Moi intime, qui précise le Moi freudien.

Sur des pathologies classiques comme par exemple les états dépressifs, et qui vont de la simple dysphorie à des états dépressifs majeurs, et que ceux-ci sous-tendent ou non d’autres types de personnalités, hystériques ou parfois schizophréniques, mélancoliques ou paranoïaques, la psychanalyse classique doit apporter l’amélioration des états, et si possible la disparition des symptômes. Dans l’exercice de la PAR doit se rajouter le développement du Moi intime, qui est cet état de la personnalité que tous connaissent, et qui sont nos réelles appétences, nos structures projectives permettant nos utopies et rêveries qui seules peuvent permettent à l’individu cette perception du cadre spatio-temporel. Ce sont des facultés innées plus ou moins développées, souvent inhibées très tôt, mais fonctionnellement nécessaires, car si elles sont entravées par le contexte éducatif, cela peut créer des états névrotiques, voire des terrains psychotiques non réellement révélées.

Il peut y avoir aussi ces états prépsychotiques qui ne sont pas réellement borderline, car ils présentent une caractéristique commune avec les névroses, qui sont si particulières et propres à la psychanalyse, c’est que ces états sont constamment présents, mais à la différence de la simple névrose, ces états produisent des épisodes aigues, qui sont très proches des observations que l’on peut faire lorsque se présente une bouffée psychotique, seulement à ces moments la personne est consciente, mais peu opérative, quant au contrôle des pulsions plus ou moins observées.

La plupart des psychanalyses passives s’arrêtent souvent à ces moments si elles y arrivent, c’est-à-dire à l’amélioration des conduites, les symptômes peuvent être amortis, parfois toujours récurrents car seulement conscientisés, ce qui est comme je l’ai souvent montré très insuffisant, seules les abréactions parviennent à permettre une réelle conscientisation, qui elle, ne peut survenir qu’après.

La psychanalyse PAR se finalise lorsque les comportements « définitifs » sont mis en place, la vie est un cheminement, il en est de même pour la psychanalyse, qui ne va jamais rien figer se situant dans cette entropie du vivant. Par contre elle va permettre à l’individu ainsi libéré du joug de ses pathologies, dans un premier temps la plus grande lucidité pour se projeter dans de réels choix, et ceux-ci de toutes natures.

Ainsi ces comportements que je viens de nommer « définitifs » en réalité vont devenir véritablement évolutifs, l’analysant ayant développé sa capacité d’adaptation et de sélection (Cf. les matrices de Ferenczi).

C’est cela qui accomplit la perlaboration qui est ainsi exogène et finalisée, c’est bien le réveil, puis l’émergence du Moi intime dont l’analysant maitrise maintenant les choix, les comportements et les postures intellectuelles, et pourra ainsi continuer à pleinement développer.

Tous ces concepts seront précisés et développés dans mon prochain ouvrage, à paraitre bientôt.



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