Contributions à la Psychanalyse. Concepts et
Méthode
Par Jacques Rivalin
Sous les
appellations : (P.A.R) (R.P.P) (P.P.R).
Brevetées et déposées.
La « P.A.R» se définit
par :
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- L’inconscient est structuré par et dans les émotions.
- Celle ci est
définie par 16 points la décrivant, et indissociables qui seront développés dans
les articles à venir.
J’ai été obligé de prendre de nombreuses
protections pour protéger cette méthode, car malheureusement j’ai vu certains psychanalystes
à la formation improbable, s’installer , pratiquer et revendiquer une pratique
« active » de la psychanalyse. Il s’agit de protéger le futur
analysant plus que dans mon esprit assurer la méthode, bien que cela soit fait.
Vous verrez que j’ai parlé de la
Psychanalyse Active et suis Président du CSDPA , mais en réalité la
Psychanalyse Freudienne a toujours été active , nous avons dans les années 1980
, utilisé et développé cette appellation pour rappeler l’efficacité et la
rapidité de la cure qui était tombée en désuétude.
Mais cela je l’ai développé dans un
ouvrage qui développe tous ces points et qui sera bientôt en édition. Et je
pense qu’il nous faudra utiliser d’autres appellations comme la PAR, car le
terme « Active » est parfois mal compris.
Quel titre prétentieux me diront certains, mais je suis obligé pour répondre à
de nombreuses questions de futurs analysants ou de personnes simplement
intéressées par la Psychanalyse et qui ont entendu parler de ma démarche et de
ma méthode de rédiger deux articles, afin de répondre plus précisément. Le
premier sera plus générique quant aux territoires auxquels prétend la Psychanalyse,
le second plus conceptuel quant à la méthode que j’ai développée.
Celle ci a été déposée et fait l’objet de
brevets afin de garantir l’intégralité de la démarche. J’ai formé au sein du
CSDPA de nombreux Psychanalystes à cette
méthode, seuls ceux ci sont habilités à la pratiquer et à l’expliquer de façon
didactique. Avant d’entreprendre une
démarche sensée s’appuyer sur mes travaux, il est prudent de demander au
praticien sa carte de membre du CSDPA ainsi que ses certificats d’authentification.
J’ai été formé et pratique la Psychanalyse
depuis 1987, et j’ai toujours participé à
l‘élaboration de méthodologie clinique et conceptuelle notamment dans le
cadre de notre société de Psychanalyse. Je me suis passionné sur l’interaction
des travaux de Freud et de Ferenczi. Ce dernier est peu connu, mais a eu une
portée essentielle dans le développement de la pertinence psychanalytique,
notamment dans le cadre des échanges qu’il a pu avoir avec Sigmund Freud, dont
nous pouvons retrouver les traces dans les ouvrages correspondance
« Sigmund Freud, Sandor Ferenczi » aux éditions Calmann-Lévy,
ouvrages que je vous invite à consulter.
Ces
travaux ont conduit Freud lors du congrès de Nuremberg en 1910 de déclarer « l’avenir de la Psychanalyse passera
par l’activité du Psychanalyste ». La pratique clinique de Freud est
souvent méconnue, notamment, une fois que l’outil analytique moderne a été finalisé,
celui que nous connaissons dans ses grandes lignes aujourd’hui. Mais il avait
su déterminer une démarche heuristique intégrant la conceptuelle des transferts.
Ceci je le développe dans un ouvrage à paraître.
Pour
finaliser cette présentation, mes études sont l’interaction des travaux de Freud,
des correspondances avec Ferenczi, des travaux de ce dernier et de la
valorisation de la notion d’abréaction.
Partie
I La Psychanalyse dans son acception
générale.
Pour
rappel celle ci est née des travaux de Charcot, Breuer, dans lesquels Freud
encore jeune médecin s’est intégré. L’hypnose a permis de mettre en avant les
notions d’inconscient, et a permis le développement de la méthode cathartique. A
partir de ce socle Freud a souhaité prolonger, consolider les perspectives que
cette thérapeutique apportait mais qui dans la portée se trouvait limitée quant
au traitement des névroses et des psychoses , c’est ainsi qu’est née la
Psychanalyse.
Une
méthode d’investigation du psychisme conscient et surtout inconscient. Avec
dans l’approche Freudienne une prétention à la liquidation du symptôme ou a l’amortissement
certain de sa portée.
La Psychanalyse repose sur un socle
fondamental, déterminés et organisé autour principalement de ces trois
points :
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- le
divan au centre de la cure. Sans lui point de Psychanalyse, ne vous laissez
surtout pas embarquer par un praticien qui vous vendrait de la Psychanalyse en
face à face ou pire encore en groupe comme je l’ai vu parfois. Le divan permet
par le simple fait d’être détendu musculairement d’abaisser le seuil de vigilance.
Ce qui a pour effet par les associations libre de laisser errer la pensée.
-
Les associations libres. Il s’agit allongé sur le divan de laisser la parole
circuler le plus librement possible, en passant spontanément d’une idée à une
autre. Ceci a pour effet de rendre la séance autonome dans le sens ou celle ci
doit nous échapper et nombreux sortent de la séance en disant mais pourquoi
j’ai parlé de la 2cv de mon grand père ? Dans ma méthode vous verrez que
l’exploitation de cette séance ne se termine pas simplement au fait d’être
allongé.
-
La règle fondamentale. Celle ci consiste à tout dire sans aucune retenue. Par
définition le conscient contrôle et censure tout, c’est le Surmoi organe
régulateur de la pensée moralement acceptée qui officie. Les censures reposent
souvent sur le fait que l’on pense que nos propos sont inintéressants déplacés,
exagérés, voire minimisés, ou reconstitués quand il s’agit de souvenirs. Pour
rappel nous sommes dans une démarche analytique, et non synthétique. La vie
quotidienne nous oblige à être cohérent concis, à avoir une belle syntaxe. Et
puis notre propre morale, la difficulté à évoquer tel ou tel sujet dont nous ne
sommes pas fier. Et puis évoquer la sexualité, eh oui comment en faire l’économie
Sigmund avait raison, il y a là sujet d’étude en chacun de nous.
Et
surtout un fondamental méconnu car pas suffisamment développé par Freud, j’ai
d’ailleurs tendance à penser qu’il existe une troisième topique en sous fil. C’est
l’abréaction, à savoir la décharge
d’émotion associée au souvenir traumatique, c’est un des points que j’ai
particulièrement développé dans mon approche.
A
qui est destinée la Psychanalyse ? A tous bien sûr !
Ce
n’est pas une galéjade que de le dire ! D’ailleurs Freud ne disait il pas
une Psychanalyse permet de finaliser toute éducation, permettent ainsi au
patient de savoir ce qui relève d’un réel choix et de finaliser ceux qui
n’auraient été aboutis.
Les
demandes les plus vastes sont possibles comme : Le stress, l’anxiété, la
dépression, la tristesse, la violence,
les deuils, les divorces, les phobies et échecs scolaire la jalousie
les tocs, les phobies sociales etc. etc. . Il ne s’agit pas de faire ici
un catalogue ou un inventaire à la Prévert Toutes les formes de névroses
trouvent une réponse dans cette démarche. Pour la psychose en établissant des protocoles,
notamment en fonction des différents traitements chimiques une modélisation est
possible.
Psychanalyse et psychothérapie. Il ne s’agit
pas de les opposer, j’ai tendance à expliquer que la psychothérapie est souvent
la porte d’entrée à la psychanalyse. En effet les patients pensent que les
recettes de certaines psychothérapies vont apporter des solutions miracles, quasi
instantanées. Celles ci ne travaillent que sur le conscient donc sur le paraitre,
En face à face le thérapeute va recueillir un maximum d’informations, en posant
des questions tout cela peut être utile mais réellement peu efficace au niveau
thérapeutique. De nombreuses personnes viennent nous voir ainsi après avoir
obtenu des résultats rapides dans différentes psychothérapies, mais peu
durables dans le temps Beaucoup disent
je me sens piégé dans mon quotidien, j’intellectualise, effectivement jamais,
la psychothérapie ne touche le refoulé ce matériau inconscient.
Et
puis combien de thérapeutes y compris des psychanalystes confondent trop
souvent la prise de conscience et
l’abréaction. La prise de conscience est très relative, parfois, voire souvent
fausse car par définition celle ci est consciente, et ne permet pas l’émergence
du refoulé.
Pour
un bref résumé, sans divan point de psychanalyse, jamais un psychanalyste ne
vous orientera il vous accompagnera, c’est un travail actif, dynamique qui
donne des résultats observables et durables, mais cela je vais le développer
dans le second chapitre.
Se
pose la question de la durée des cures analytiques, car il faut raisonner en
durée de cure, notamment sur le plan financier et en terme d’efficacité durable,
cela je le développerai plus dans les autres articles. Il faut savoir que
chaque parcours , histoire de vie est unique , et donc chaque analyse est
personnelle et unique , rien ne peut être comparé . Les « problématiques »
sont de nature, gravité, historicité différentes. Saufs pathologies lourdes, il
faut raisonner en mois . Je me suis aperçu être le seul à pratiquer les hauts
niveaux d’intensité, je forma actuellement d’autres à cette approche, et là il
faut raisonner en semaine ou en jours.
La partie II à paraître bientôt sera la présentation
plus précise de ma méthode.
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Bonjour Monsieur Rivalin .
RépondreSupprimerJe suis un de vos anciens patients je n’ai jamais osé répondre dans votre blog , mais je suis ravi de savoir que vous allez sortir un livre. Je vais vous adresser un mail pour que vous vous rappeliez de notre travail . Je peux dire que vous m’avez « sauvé » j’étais en dépression majeure , j’avais tout essayé antidépresseur hospitalisation cures de sommeil , je dois dire que je ne croyais plus en rien quand une amie m’a conseillé de vous voir c’était en 2004 , je me souviens de nos premières séances . Si cela peut rassurer vos lecteurs , oui la psychanalyse que vous pratiquez , m’a changée la vie et depuis je ne prends plus aucuns traitements. Je vous remercie , et vous adresse un mail . Bien cordialement André.
Bonjour et merci pour ce que vous faites. C'est tout de même un drôle de métier que vous faites et tout ceci est très beau.
RépondreSupprimerBon vent à vous et au plaisir !
Nicolas G.